Tout cela marchera en effet jusqu’à Lacan, jusqu’au moment où il inflige à l’homme une nouvelle blessure narcissique, où il montre que c’est l’objet qui a puissance sur le sujet, que le regard du sujet est hors de lui, qu’il le regarde et qu’il est maitre du sujet que celui-ci sous le regard devient objet. Cela rejoint au fond le Pour-soi chez Sartre.

WAJCMAN, GÉRARD: FENÊTRE, CHRONIQUES DU REGARD ET DE L’INTIME (1998)

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